Ce spectacle, créé à l’origine en 2011 à Séoul (capitale de la Corée du sud), a été présenté à Paris au théâtre de la Colline dans le cadre de Paris, quartiers d’été.
L’idée de ce ballet est née en 2010 en Corée du sud. A l’époque, Eun-Me Ahn (véritable star dans son pays) était sur les routes du pays…
Au fil de ses rencontres, elle a demandé à des femmes âgées de 60 à 90 ans (campagnardes pour la majorité) de danser sur les rythmes qui avaient bercés leur jeunesse.
Comme l’indique la chorégraphe : « elles étaient heureuses d’être encore capables de danser et heureuses que quelqu’un leur ait demandé de le faire. Leurs danses étaient si naturelles et si vivantes qu’elles ont entraîné́ dans leur mouvement les jeunes danseurs professionnels de ma troupe ».
Et d’ajouter : « chacun de leurs gestes reflétait la rudesse de leurs conditions de vie. (…) Les corps ridés de ces grands-mères étaient comme un livre où aurait été consigné des vies vécues depuis plus d’un siècle. »
Naturellement, ce sont ces rencontres au sein de la Corée profonde qui ont inspiré la chorégraphe pour ce spectacle qui se déroule en deux parties. La première met en scène les neuf jeunes danseurs de sa troupe sur des musiques contemporaines. Dans la seconde partie, une quinzaine de grands-mères se produit sur les tubes de leur jeunesse accompagnées, parfois, de la troupe. Ce spectacle est tout simplement jubilatoire.
Si ce ballet d’une heure et demi repasse sur Paris, surtout ne le manquez pas ! Il est tout simplement inoubliable. In fine, Dancing grandmothers est une véritable ode aux grands-mères de Corée du sud, mais aussi de toutes les mamies de la planète !
Rappelons que dans les années 2000, la chorégraphe Pina Bausch avait créé le spectacle Kontakhof dans lequel elle faisait danser des seniors.
L’idée de ce ballet est née en 2010 en Corée du sud. A l’époque, Eun-Me Ahn (véritable star dans son pays) était sur les routes du pays…
Au fil de ses rencontres, elle a demandé à des femmes âgées de 60 à 90 ans (campagnardes pour la majorité) de danser sur les rythmes qui avaient bercés leur jeunesse.
Comme l’indique la chorégraphe : « elles étaient heureuses d’être encore capables de danser et heureuses que quelqu’un leur ait demandé de le faire. Leurs danses étaient si naturelles et si vivantes qu’elles ont entraîné́ dans leur mouvement les jeunes danseurs professionnels de ma troupe ».
Et d’ajouter : « chacun de leurs gestes reflétait la rudesse de leurs conditions de vie. (…) Les corps ridés de ces grands-mères étaient comme un livre où aurait été consigné des vies vécues depuis plus d’un siècle. »
Naturellement, ce sont ces rencontres au sein de la Corée profonde qui ont inspiré la chorégraphe pour ce spectacle qui se déroule en deux parties. La première met en scène les neuf jeunes danseurs de sa troupe sur des musiques contemporaines. Dans la seconde partie, une quinzaine de grands-mères se produit sur les tubes de leur jeunesse accompagnées, parfois, de la troupe. Ce spectacle est tout simplement jubilatoire.
Si ce ballet d’une heure et demi repasse sur Paris, surtout ne le manquez pas ! Il est tout simplement inoubliable. In fine, Dancing grandmothers est une véritable ode aux grands-mères de Corée du sud, mais aussi de toutes les mamies de la planète !
Rappelons que dans les années 2000, la chorégraphe Pina Bausch avait créé le spectacle Kontakhof dans lequel elle faisait danser des seniors.