Dans le cadre de cette maison de retraite, les étudiants et le directeur de l’établissement, Mr Doridan, ont choisi d’y intégrer deux équidés : un âne et un poney, trois chèvres et trois lapins béliers. Les résidents peuvent ainsi partir à la rencontre d’animaux aux caractères assez différents et de plusieurs tailles afin que chacun puisse créer des affinités avec l’animal qui attire le plus son attention.
Le nombre de chaque type d’animaux a été choisi en fonction de l’espace disponible mais aussi de leur bien-être, car il faut savoir qu’il est préférable qu’un équidé soit au moins avec un autre animal de la même famille ou que les chèvres vivent dans un groupe de trois individus au minimum.
La création d’un parc animalier, ça ne se fait pas en un claquement de doigt. Encore moins dans une maison de retraite… Par où commencer ? La création d'un tel parc nécessite un certain cadre réglementaire. Cela dépend du lieu, des espèces d'animaux et de l'objectif du parc… En ce qui concerne les maisons de retraite, il s’agit d’un « élevage d’agrément », si « les espèces sauvages animales détenues en captivité́ sont courantes, relativement faciles d’entretien et en nombre limité ».
Il est nécessaire de déclarer et de faire identifier tous les animaux introduits dans le parc. Pour toute détention d’un animal dit domestique, il existe une obligation, concernant au moins un des employés de la maison de retraite, de détenir un certificat de capacité́ domestique. Pour les espèces dites « non domestiques », il faut faire les recherches nécessaires pour connaitre les démarches à suivre, au cas par cas, auprès de votre DDPP (Direction départementale de la Protection des Populations).
Par ailleurs, la nature du terrain sur lequel on veut construire le parc est un élément qu’il ne faut pas négliger car si le terrain est classé ou protègé, il est impossible de faire le moindre changement dessus, à moins d'obtenir une dérogation exceptionnelle du maire, ce qui rend les démarches administratives plus lourdes. Il faut donc consulter le cadastre disponible sur le site du gouvernement.
La volonté première en introduisant ces animaux au sein d’un EHPAD, est de créer un environnement plus agréable et stimulant pour les personnes âgées… Afin de déterminer les animaux à intégrer dans le parc animalier, il faut tout d’abord effectuer une première sélection d’animaux couramment rencontrés dans des parcs animaliers ou dans le cadre de la zoothérapie. Il faut ensuite s’interroger sur les équipements, les soins nécessaires, le comportement et donc la compatibilité́ de chaque animal pour la zoothérapie…
Le nombre de chaque type d’animaux a été choisi en fonction de l’espace disponible mais aussi de leur bien-être, car il faut savoir qu’il est préférable qu’un équidé soit au moins avec un autre animal de la même famille ou que les chèvres vivent dans un groupe de trois individus au minimum.
La création d’un parc animalier, ça ne se fait pas en un claquement de doigt. Encore moins dans une maison de retraite… Par où commencer ? La création d'un tel parc nécessite un certain cadre réglementaire. Cela dépend du lieu, des espèces d'animaux et de l'objectif du parc… En ce qui concerne les maisons de retraite, il s’agit d’un « élevage d’agrément », si « les espèces sauvages animales détenues en captivité́ sont courantes, relativement faciles d’entretien et en nombre limité ».
Il est nécessaire de déclarer et de faire identifier tous les animaux introduits dans le parc. Pour toute détention d’un animal dit domestique, il existe une obligation, concernant au moins un des employés de la maison de retraite, de détenir un certificat de capacité́ domestique. Pour les espèces dites « non domestiques », il faut faire les recherches nécessaires pour connaitre les démarches à suivre, au cas par cas, auprès de votre DDPP (Direction départementale de la Protection des Populations).
Par ailleurs, la nature du terrain sur lequel on veut construire le parc est un élément qu’il ne faut pas négliger car si le terrain est classé ou protègé, il est impossible de faire le moindre changement dessus, à moins d'obtenir une dérogation exceptionnelle du maire, ce qui rend les démarches administratives plus lourdes. Il faut donc consulter le cadastre disponible sur le site du gouvernement.
La volonté première en introduisant ces animaux au sein d’un EHPAD, est de créer un environnement plus agréable et stimulant pour les personnes âgées… Afin de déterminer les animaux à intégrer dans le parc animalier, il faut tout d’abord effectuer une première sélection d’animaux couramment rencontrés dans des parcs animaliers ou dans le cadre de la zoothérapie. Il faut ensuite s’interroger sur les équipements, les soins nécessaires, le comportement et donc la compatibilité́ de chaque animal pour la zoothérapie…