Quels sont les facteurs qui entraînent des variations du taux de cholestérol ?
Certains traits génétiques entraînant un cholestérol bas sont associés à un mauvais état de santé dès la naissance
(SLO syndrome, child syndrome) tandis que d’autres sont associés plus tard à de multiples complications ou accidents de vie : plus de cancers, de dépression, de maladies infectieuses, d’altérations cognitives liées à l’âge…
Certains états physiologiques vont également faire fluctuer (augmenter) la cholestérolémie tels que la ménopause, l’andropause ou encore un état de stress chronique, et bien sûr certaines habitudes alimentaires. En dehors de ces cas précis, la cholestérolémie varie d’un individu à l’autre en fonction des besoins de son organisme. Et contrairement aux idées reçues, des taux élevés de cholestérol dans le sang ne sont pas dangereux par eux-mêmes mais sont le reflet du mode de vie des personnes, qu’il soit protecteur ou délétère.
Le cholestérol, ce n’est, comme pour beaucoup de choses, qu’une question d’équilibre entre les besoins des organes pour assurer leur physiologie (une fonction normale) et la production par le foie puis le transport dans le sang. Un taux élevé de cholestérol est un indicateur de nos comportements et doit permettre de prendre conscience qu’il est important de les modifier.
Justement… Que devons-nous modifier dans nos habitudes ?
Le tabac, l’alimentation, le stress et la sédentarité sont les quatre facteurs importants qu’il faut améliorer. Pas forcément le plus simple mais le plus efficace… il faut modifier : notre alimentation. Et par alimentation, je ne veux pas dire aller vers des régimes pauvres en cholestérol. Il faut, avant toute chose, se rappeler que l’alimentation doit nous apporter les nutriments essentiels au fonctionnement de notre corps tels que les oméga 3, les antioxydants, les vitamines, les oligo-éléments ou encore les minéraux qui vont tous participer au métabolisme.
Pour cela, un très bon exemple à suivre, celui des pays méditerranéens. Abolir la consommation d’alcool va diminuer le taux de cholestérol mais d’un autre côté augmente les risques cardiovasculaires, il est donc préférable d’en consommer avec modération. La pratique d’une activité sportive régulière ainsi qu’apprendre à bien gérer son stress sont également indispensables.
Certains traits génétiques entraînant un cholestérol bas sont associés à un mauvais état de santé dès la naissance
(SLO syndrome, child syndrome) tandis que d’autres sont associés plus tard à de multiples complications ou accidents de vie : plus de cancers, de dépression, de maladies infectieuses, d’altérations cognitives liées à l’âge…
Certains états physiologiques vont également faire fluctuer (augmenter) la cholestérolémie tels que la ménopause, l’andropause ou encore un état de stress chronique, et bien sûr certaines habitudes alimentaires. En dehors de ces cas précis, la cholestérolémie varie d’un individu à l’autre en fonction des besoins de son organisme. Et contrairement aux idées reçues, des taux élevés de cholestérol dans le sang ne sont pas dangereux par eux-mêmes mais sont le reflet du mode de vie des personnes, qu’il soit protecteur ou délétère.
Le cholestérol, ce n’est, comme pour beaucoup de choses, qu’une question d’équilibre entre les besoins des organes pour assurer leur physiologie (une fonction normale) et la production par le foie puis le transport dans le sang. Un taux élevé de cholestérol est un indicateur de nos comportements et doit permettre de prendre conscience qu’il est important de les modifier.
Justement… Que devons-nous modifier dans nos habitudes ?
Le tabac, l’alimentation, le stress et la sédentarité sont les quatre facteurs importants qu’il faut améliorer. Pas forcément le plus simple mais le plus efficace… il faut modifier : notre alimentation. Et par alimentation, je ne veux pas dire aller vers des régimes pauvres en cholestérol. Il faut, avant toute chose, se rappeler que l’alimentation doit nous apporter les nutriments essentiels au fonctionnement de notre corps tels que les oméga 3, les antioxydants, les vitamines, les oligo-éléments ou encore les minéraux qui vont tous participer au métabolisme.
Pour cela, un très bon exemple à suivre, celui des pays méditerranéens. Abolir la consommation d’alcool va diminuer le taux de cholestérol mais d’un autre côté augmente les risques cardiovasculaires, il est donc préférable d’en consommer avec modération. La pratique d’une activité sportive régulière ainsi qu’apprendre à bien gérer son stress sont également indispensables.
Découverte en 1758 par François-Paul Poulletier sous forme solide au sein de calculs biliaires, c’est en 1816 que cette nouvelle substance organique prend le nom de cholestérine suite aux travaux de Michel-Eugène Chevreul qui précise ses caractéristiques physico-chimiques. Le saviez-vous ? Le cholestérol tire son nom du grec « chole » signifiant bile et « stereos » signifiant solide.
Phythea cholestérol a été formulé dans le but d’aider notre organisme à garder son équilibre. Pour cela, les chercheurs en recherche et développement du laboratoire ont développé une combinaison d’ingrédients la plus complète afin d’apporter une aide quotidienne pour maintenir un taux de cholestérol adéquat au bon fonctionnement de notre organisme et à le protéger du stress oxydatif.
Phythea cholestérol a été formulé dans le but d’aider notre organisme à garder son équilibre. Pour cela, les chercheurs en recherche et développement du laboratoire ont développé une combinaison d’ingrédients la plus complète afin d’apporter une aide quotidienne pour maintenir un taux de cholestérol adéquat au bon fonctionnement de notre organisme et à le protéger du stress oxydatif.