Cette publicité n’était pas très fine, ni même très drôle d’ailleurs… Dans tous les cas, vous ne la verrez plus sur vos écrans de télévision… En effet, Michèle Delaunay, ministre chargée des personnes âgées et de l'Autonomie a demandé à ce que ce spot pour les chips Lays soit déprogrammé…
De fait, dans un courrier du 17 septembre dernier, le Défenseur des droits a estimé que ce sport portait « atteinte à la dignité des personnes âgées ». Et d’ajouter « plusieurs personnes ont manifesté leur émotion à la vue de cette publicité ».
Plus concrètement, on y voyait un couple de personnes âgées se quereller pour un paquet de chips, se mettant mutuellement des « bâtons dans les roues » pour empêcher l’autre d’attraper les snacks tant désirés… A la fin, l’homme parvient à s’imposer, mais entretemps, sa femme lui a chipé son dentier. Certes, rien de très drôle ni de très fin dans cette publicité plutôt « cheap » pour des « chips », mais de là à l’interdire…
Dans un tweet, Michèle Delaunay, affirme que c'est à sa demande que le Défenseur des droits s'est saisi de cette publicité et s'est félicitée que le spot ait été retiré. La ministre a estimé que « l'humour doit rester à distance des déficiences et des prothèses qui les pallient ». A ce compte-là, Coluche, Le Luron, Desproges seraient également interdits d’antenne de nos jours !
De fait, dans un courrier du 17 septembre dernier, le Défenseur des droits a estimé que ce sport portait « atteinte à la dignité des personnes âgées ». Et d’ajouter « plusieurs personnes ont manifesté leur émotion à la vue de cette publicité ».
Plus concrètement, on y voyait un couple de personnes âgées se quereller pour un paquet de chips, se mettant mutuellement des « bâtons dans les roues » pour empêcher l’autre d’attraper les snacks tant désirés… A la fin, l’homme parvient à s’imposer, mais entretemps, sa femme lui a chipé son dentier. Certes, rien de très drôle ni de très fin dans cette publicité plutôt « cheap » pour des « chips », mais de là à l’interdire…
Dans un tweet, Michèle Delaunay, affirme que c'est à sa demande que le Défenseur des droits s'est saisi de cette publicité et s'est félicitée que le spot ait été retiré. La ministre a estimé que « l'humour doit rester à distance des déficiences et des prothèses qui les pallient ». A ce compte-là, Coluche, Le Luron, Desproges seraient également interdits d’antenne de nos jours !