Expérimenté dès 2002, le dispositif de dépistage organisé du cancer colorectal est aujourd'hui généralisé dans l'ensemble des départements. En effet, comme le souligne le ministère de la Santé dans son communiqué, « les résultats des premières campagnes de dépistage des départements pilotes sont encourageants, avec un taux de participation moyen de 42% ».
Le dépistage du cancer colorectal permet d'identifier la maladie à un stade très précoce de son développement et de détecter des polypes, avant qu'ils n'évoluent vers un cancer. Le programme de dépistage organisé du cancer colorectal mis en place par le ministère de la Santé et des Sports s'adresse, tous les deux ans, aux hommes et aux femmes âgés de 50 à 74 ans.
Rappelons que le cancer colorectal reste, avec plus de 37.000 nouveaux cas estimés en 2005, le 3ème cancer en termes de fréquence (derrière les cancers de la prostate et du sein). Il représente, avec près de 17.000 décès annuels, la deuxième cause de décès par cancer après celui du poumon.
Roselyne Bachelot-Narquin, au côté de L'INCa déploie cette année, dans le prolongement des années précédentes, un programme d'information renouvelé et amplifié en direction des populations cibles, des professionnels de santé concernés et des acteurs de proximité (structures départementales en charge du dépistage, associations...).
Parmi les actions mises en place, la rediffusion de la campagne TV et radio du mois de septembre et l'organisation d'une exposition mobile itinérante, qui sillonnera vingt villes de France pendant le mois de mars. L'INCa mobilise également, dans le cadre de ce mois de mars 2009, de nouveaux partenaires (le monde de l'entreprise, les hôpitaux, les collectivités locales, les élus, les mutuelles...).
Le dépistage du cancer colorectal est aujourd'hui de mieux en mieux connu. Une récente enquête montre que sa notoriété est en nette hausse par rapport à 2005, même si elle reste encore inférieure à celle du dépistage du cancer du sein. Son image tend également à s'améliorer auprès du public. Reste aujourd'hui à en faire une véritable habitude de santé parmi la population âgée de 50 à 74 ans. Pouvoirs publics, professionnels de santé, acteurs de proximité et partenaires de la société civile sont aujourd'hui mobilisés autour de cet objectif.
Le dépistage du cancer colorectal permet d'identifier la maladie à un stade très précoce de son développement et de détecter des polypes, avant qu'ils n'évoluent vers un cancer. Le programme de dépistage organisé du cancer colorectal mis en place par le ministère de la Santé et des Sports s'adresse, tous les deux ans, aux hommes et aux femmes âgés de 50 à 74 ans.
Rappelons que le cancer colorectal reste, avec plus de 37.000 nouveaux cas estimés en 2005, le 3ème cancer en termes de fréquence (derrière les cancers de la prostate et du sein). Il représente, avec près de 17.000 décès annuels, la deuxième cause de décès par cancer après celui du poumon.
Roselyne Bachelot-Narquin, au côté de L'INCa déploie cette année, dans le prolongement des années précédentes, un programme d'information renouvelé et amplifié en direction des populations cibles, des professionnels de santé concernés et des acteurs de proximité (structures départementales en charge du dépistage, associations...).
Parmi les actions mises en place, la rediffusion de la campagne TV et radio du mois de septembre et l'organisation d'une exposition mobile itinérante, qui sillonnera vingt villes de France pendant le mois de mars. L'INCa mobilise également, dans le cadre de ce mois de mars 2009, de nouveaux partenaires (le monde de l'entreprise, les hôpitaux, les collectivités locales, les élus, les mutuelles...).
Le dépistage du cancer colorectal est aujourd'hui de mieux en mieux connu. Une récente enquête montre que sa notoriété est en nette hausse par rapport à 2005, même si elle reste encore inférieure à celle du dépistage du cancer du sein. Son image tend également à s'améliorer auprès du public. Reste aujourd'hui à en faire une véritable habitude de santé parmi la population âgée de 50 à 74 ans. Pouvoirs publics, professionnels de santé, acteurs de proximité et partenaires de la société civile sont aujourd'hui mobilisés autour de cet objectif.