Cette nouvelle technique de scanner du cerveau porte le nom de Diffusion Tensor Imaging (DTI). Et selon cette étude réalisée en Italie, elle permettrait de détecter plus précocement les premiers signes de la maladie d’Alzheimer chez une personne en bonne santé qui présenterait de légers troubles de la mémoire.
« Dans la mesure où de nouveaux traitements contre la maladie apparaissent sur le marché, il est important de pouvoir identifier les personnes à risque très tôt afin que les médicaments puissent être prescrits rapidement pour être le plus efficace possible » souligne le Dr Norbert Scuff de San Francisco dans une publication relative à cette étude.
Plus concrètement, cette recherche réalisée à Rome (Italie) a porté sur l’analyse de 76 personnes en bonne santé, âgées de 20 à 80 ans. Elles ont toutes passé un DTI-MRI, un examen dont la sensibilité est plus grande qu’un simple IRM, pour analyser les changements qui s’opèrent dans la chimie du cerveau.
Cela a également permis aux chercheurs de cartographier les trames de fibres qui relient les régions du cerveau entre elles. Ensuite, les scientifiques ont examiné les changements qui s’opèrent dans l’hippocampe, zone cruciale du cerveau qui est affectée dans la maladie d’Alzheimer.
« Les résultats de notre étude montrent que ce type de scan cérébral s’avère plus efficace pour évaluer la santé du cerveau des personnes qui souffrent de pertes de mémoire, souligne le docteur Giovanni Carlesimo, en charge de cette recherche à l’Université de Rome. Cette technique pourrait permettre aux médecins de mieux différencier les signes d’un vieillissement normal des premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer ».
Toujours selon ces spécialistes italiens, le DTI/MRI pourrait permettre de mieux prévoir l’évolution des fonctions cognitives des personnes, notamment chez les 50 ans et plus.
« Dans la mesure où de nouveaux traitements contre la maladie apparaissent sur le marché, il est important de pouvoir identifier les personnes à risque très tôt afin que les médicaments puissent être prescrits rapidement pour être le plus efficace possible » souligne le Dr Norbert Scuff de San Francisco dans une publication relative à cette étude.
Plus concrètement, cette recherche réalisée à Rome (Italie) a porté sur l’analyse de 76 personnes en bonne santé, âgées de 20 à 80 ans. Elles ont toutes passé un DTI-MRI, un examen dont la sensibilité est plus grande qu’un simple IRM, pour analyser les changements qui s’opèrent dans la chimie du cerveau.
Cela a également permis aux chercheurs de cartographier les trames de fibres qui relient les régions du cerveau entre elles. Ensuite, les scientifiques ont examiné les changements qui s’opèrent dans l’hippocampe, zone cruciale du cerveau qui est affectée dans la maladie d’Alzheimer.
« Les résultats de notre étude montrent que ce type de scan cérébral s’avère plus efficace pour évaluer la santé du cerveau des personnes qui souffrent de pertes de mémoire, souligne le docteur Giovanni Carlesimo, en charge de cette recherche à l’Université de Rome. Cette technique pourrait permettre aux médecins de mieux différencier les signes d’un vieillissement normal des premiers symptômes de la maladie d’Alzheimer ».
Toujours selon ces spécialistes italiens, le DTI/MRI pourrait permettre de mieux prévoir l’évolution des fonctions cognitives des personnes, notamment chez les 50 ans et plus.