Déjà légalisée dans de nombreux pays d’Europe, l’assistance sexuelle cherche encore sa place dans notre société.
Rappelons que l’accompagnement érotique et sexuel consiste à proposer des services sensuels, érotiques et/ou sexuels à des personnes en situation de handicap.
Récemment mise à l’ordre du jour par le Président PS de l’Essonne et la diffusion au cinéma du film « The Sessions » (La thérapie), la réflexion autour de l’assistance sexuelle suscite autant de réactions de soutien que de levers de boucliers.
Comment faciliter l’accès à une sexualité sans tomber dans les dérives du proxénétisme ? Quelle est la frontière entre l’accompagnement médical et la prostitution ? Les seniors ont tranché.
Pour 74% des cinquante ans et plus, il faut légiférer en faveur de l’accompagnement érotique, au nom du droit pour tous à la sexualité. Selon eux, ce moyen permettrait un meilleur épanouissement des personnes handicapées grâce à l’accès à une vie affective et sexuelle et nécessiterait d’être reconnu et défendu.
A l’inverse, un senior sur quatre se dit contre (26%). Pour 8% d’entre eux, il s’agit d’une forme de prostitution déguisée contraire aux principes de dignité humaine. Enfin, pour 18% des répondants, une relation sexuelle représente un véritable acte d’amour et ne devrait pas être assistée par une personne à titre professionnel.
« La question du droit à la sexualité pour tous mobilise fortement la communauté de Quintoniciens. C’est en effet un sujet important qui interpelle l’ensemble de la société et contre toute attente, l’opinion publique pourrait se montrer en faveur d’une législation en la matière... » explique Christina Terrier, directrice du site.
*Méthodologie : Quintonic.fr a interrogé sur son site 812 internautes du 5 au 13 mai.
Rappelons que l’accompagnement érotique et sexuel consiste à proposer des services sensuels, érotiques et/ou sexuels à des personnes en situation de handicap.
Récemment mise à l’ordre du jour par le Président PS de l’Essonne et la diffusion au cinéma du film « The Sessions » (La thérapie), la réflexion autour de l’assistance sexuelle suscite autant de réactions de soutien que de levers de boucliers.
Comment faciliter l’accès à une sexualité sans tomber dans les dérives du proxénétisme ? Quelle est la frontière entre l’accompagnement médical et la prostitution ? Les seniors ont tranché.
Pour 74% des cinquante ans et plus, il faut légiférer en faveur de l’accompagnement érotique, au nom du droit pour tous à la sexualité. Selon eux, ce moyen permettrait un meilleur épanouissement des personnes handicapées grâce à l’accès à une vie affective et sexuelle et nécessiterait d’être reconnu et défendu.
A l’inverse, un senior sur quatre se dit contre (26%). Pour 8% d’entre eux, il s’agit d’une forme de prostitution déguisée contraire aux principes de dignité humaine. Enfin, pour 18% des répondants, une relation sexuelle représente un véritable acte d’amour et ne devrait pas être assistée par une personne à titre professionnel.
« La question du droit à la sexualité pour tous mobilise fortement la communauté de Quintoniciens. C’est en effet un sujet important qui interpelle l’ensemble de la société et contre toute attente, l’opinion publique pourrait se montrer en faveur d’une législation en la matière... » explique Christina Terrier, directrice du site.
*Méthodologie : Quintonic.fr a interrogé sur son site 812 internautes du 5 au 13 mai.